A vos poèmes!

Petit jeu sans prétention… Chaque personne qui passe ici et que ça lui tente, vient construire un poème somme toute banale avec des mots proposés et ce poème il va de soit, doir rimer.

Question de ne pas rendre ce petit jeu sans le véritable plaisir des mots.

L’exemple le plus simple est d’en faire un pour vous ce qui vous aidera à mieux comprendre.

Souris
Arbre
Monstre
Peur
Rire

Je me dois donc avec ces cinq mots proposés composer un petit poème de cinq vers.
Sur un arbre accrochée
Une souris effrayée
Regarde le monstre attiré
Par sa peur elle en est tombée
A la satisfaction d’un rire accompagné.

Donc, si cela vous agrez, voici les cinq mots que je vous propose et ensuite, après votre poème, à vous d’en proposer 5 pour le/la prochain/e participant/e

Prêt?

Auréole
Montagne
Asphalte
Roue
Assiette.

PS… Pas obligé que les mots proposés soient en ordre.

Bon poème!

Folle idée

Une idée
est une suite d’idées
trouvée dans une idée
et perdue dans une autre idée

Bien sur ici l’idée
Est de creuser l’idée
De décortiquer cette idée
Pour découvrir des parcelles d’idée
Qui à elles seules, font L’ensemble de l’idée

En faite, cette grande idée
N’est rien de plus qu’une suite d’idées
Dans une boite à idée
Que soudainement nous découvrons comme Notre idée
Alors qu’en vérité, cette idée
Subtilement subtilisée devient cette magnifique idée
D’une pensée perdue, du reflet d’une quelconque idée

Il faut juste avoir eut cette brillante idée
Au moment où personne ne cherchait cette idée
Sinon, adieu belle idée
Pour devenir un mesonge d’idées

Oui je sais, c’est une étrange idée
Que de parler ainsi d’idée
Sans queue ni tete, mais voilà l’idée
Était justement de faire parler d’une idée
À partir de fond d’idée
Sans but précis, pour devenir, L’IDÉE

Bon, je vous laisse mijoter cette idée
Qui devient une mauvaise idée.
Au plaisir d’une nouvelle idée
Qui cette fois sera une excellente idée.

Krikri Ma Puce.

Oui je le peux!

Je n’ai pas vaincu le temps
Je n’ai pas la force, comme le vent
de braver le contre courant
J’aimerais bien pourtant
Juste pour un instant
Pouvoir m’arreter un petit moment
Et savourer ces instants

Savourer enfin les embrums de ma vie
Les reflets de cet océan infini
Qu’est ma vieillesse rajeuni
Par cette période affermie
D’un regard agguerri
Sur ces années aux intempéris
Qui ont tracés ce chemin parfois maudit

J’aimerais saisir entre mes mains
Cet espoir d’hier et le chérir dans mon sein
Le bercer et le cajoler de mes doigts incertains
Comme jadis quand la douleur disparaissait au matin
d’une nouvelle envolée au creu de mes reins
Là je savais, qu’encore, mes lendemains
Vivraient l’émerveillement de mes rêves enfantins

Mais hélas, là, je suis trop amère
Plus rien ne vient brimer cette misère
De ce coeur endurcie dans son enfer
de l’ironie et de l’amertume pour avoir souffert
Maintes fois, brûlant cette lumière
Qu’est la foi primaire
De tout etre, croyant en l’univers

Non, je ne peux arreter le temps
Pour retrouver ces moments
Mais je peux surement
Faire encore l’effort éminent
Pour que devant moi ce chemin
Brille aux couleurs de nouveaux émerveillements.

Je me déteste

Je me déteste de t’aime encore
De sentir ce manque de toi
Je me déteste, d’espérer que tout n’est pas mort
Mais qu’un jour tu viendras vers moi

Je me déteste. Ciel que je me déteste
De vouloir cette tendresse
Qui me berçait, me faisait rever
QUE TOI tu m’aimais vraiment

Je me déteste HO! oui… tellement
À sentir mon coeur battre fort
Juste à revivre ces moments
Que seul à toi à su m’offrir ainsi

Je….. je me déteste
de pleurer quand je repense à ce nous
Qui pour toi n’est plus
Mais c’est tout ce qu’il me reste
Meme si ça ne veut plus rien dire
Que ça me fait horriblement souffrir
Et c’est pour ça. que je me déteste.

Je me déteste, de t’aimer encore
En sachant que ta vie tu l’as refait
Qu’une autre que tu aimes,
MERDE, que je me déteste.

En dedans

Je suis brisée, en dedans
Ça ne parait pas, mais, mon coeur
Est mort de tant de douleurs
Qui m’empoisonnent le sang
Je suis éteinte, en dedans
J’ai perdu l’étincelle
Qui éclaire la foi du vivant
Qui donne des ailes

Je suis en colère en dedans
Mes veines bouillonnant
Par l’envie de tout détruire
Et de vous maudire

Oui je suis morte, en dedans
Morte de vos mensonges
Qui perpétuellement me rongent
Jusqu’au coeur, jusqu’aux dents

Oui Oui ET OUI, en dedans
Ma foi en l’humain en l’amour
On disparus pour toujours
Tout ça parce que, je suis morte en dedans.

Juste…

Comme je voudrais crier hurler
tout ce mal qui me ronge
Qui me colle au mur de ma lucidé
Froide et laide comme les mensonges

Les mensonges des hommes
Pourissant comme des pommes
Trainant au sol de mon coeur
Me retenant d’exprimer cette douleur

Je voudrais juste que cesse cette souffrance
Tourner cette page de cette histoire
Accepter qu’il n’y a plus d’espérance
Sans sombrer dans le désespoir

Cesser de chercher où est l’erreur
Cesser d’avoir peur
Cesser de souffrir inutilement
Cesser simplement d’exister

Etre que cette mère
Oubliant cette femme éphémère
Qui trop souvent a bu la mer
Pour encore croire sans être amère.

Juste, parvenir à sourire aux feuilles qui tombent
Sourire à un petit enfant qui coure
Sourire à un vieillard qui me sourit
Sourire aux chants des oiseaux
Juste…. Vivre, sans rien attendre des hommes
Car leurs mots pourrissent toujours comme des pommes.

Gardant la tete haute.

La rage au coeur
Les larmes aux yeux
L’amour sous terre
L’espoir envolé

Plus rien n’est beau
Je suis morte en dedans
Je vis que par procuration
Depuis, je respire que pour elles

Il n’y a que douleur
Que noire colère
Je suis enmuré dans mon propre coeur
je souffre tant, je veux aller sous terre

Il m’a jeté telle une vieille chaussure
Sans rien me dire, il a disparu
À froid, il a ouvert cette blessure
Mettant mon âme à nu

J’ai beau m’accrocher
Il a tout aspirer
Avec lui il a emporté
Le sens du verbe aimer
Ce qu’il y avait de plus beau
Tous ses je t’aime, tous ses mots
Étaient qu’un vil scénario
En disparaissant, il a créé cet océan de maux

Je n’en peux plus
Je suis a bout
Au secours..,
Dire qu’il ni a pas que ça!

Je me nois en silence
Gardant la tete haute.

Je dis NON!

Je vous déteste vous les hommes
Vous prenez vous abusez en riant
vous foutant du mal que vous procurez
Nous abandonnant après usage.

Vous dites nous aimer, mais
NON! Vous jouez avec nous
Vous ne savez pas ce qu’est aimer
NON! Vous ne savez pas

Égoiste que vous etes
Ne pensant qu’à votre plaisir
Vos sales désirs
En vous jouant merveilleusement de nous

Le meme scénario se répète inlassablement
Tentant encore et encore d’espérer
De croire que cette fois, c’est le bon
Mais non, pauvre conne que nous sommes
Encore nous avons voulu croire….en vain

Cette fois pourtant, Moi, ça m’a tué
Je n’arrive plus à nager jusqu’au rivage
Je suis épuisée en dedans
J’étouffe par toutes ces douleurs

Je sais que plus jamais
Je sais que ce n’est pas pour moi
Je sais, Oui Maintenant je sais
Aimer, les hommes ne connaissent pas.

Maintenant, juste respirer
Pour elles, pour ne pas les faire souffrir
C’est bien tout ce qu’il me reste
La raison qui me garde la tete hors de l’eau

Nager et encore nager
Malgré la douleur, malgré la fin
La fin de la foi et de l’espoir
Plus jamais je ne croirai en l’amour

Cet amour là c’est le pire mensonge
Jusqu’au sang il vous ronge
Mais là c’est assez! Terminé
Meme si ça fait mal. TERMINÉ
Je dis NON! NON et non….

Bercez Moi

C’est dur de ne plus espérer,
De ne plus croire qu’il m’a aimer
Oui c’est dur, de ne plus croire
De ne plus le voir

Tout ce mal qui me détruit
Toute cette douleur qui me suit
Telle mon ombre
Dans un décor sombre

J’aimerais tant pouvoir guérir
Enfin, pouvoir me dire
C’est terminé de souffrir
Fini de le maudire

Il faut que je parle de lui
Pour que je dorme mes nuits
Il faut que je cris
Il faut que…. OUI
Je m’extériorise
Que je brise
Cette foutue emprise

De ce besoin de ses bras
De cette tendresse là
OUI IL LE FAUT
HAAAAAA CIEL…. Que cessent ces maux
Ces larmes
Ces drames

Bercez moi quelqu’un
Oui, bercez moi…..
J’ai tant besoin de TOI…
Bercez….moi