Marre d’entendre parler que le seul féminisme accepté est celui de la femme qui travaille, de la femme qui bosse dure et qui ne pense qu’à sa carrière.
Marre d’entendre que ce sont que ces femmes qui sont valoriser dans ce système où seule la performance compte.
Marre de sentir que cette masse de féministes frustrées ne présument que par cette manière de voir la femme libérée.
Oui, à une époque il fallait se battre, se relever les coudes pour avoir le droit de vote, le droit de vivre comme on en avait envie, pour sortir de derrières les cuisines. C’était un mal par lequel il fallait passer pour que la femme revendique son droit d’etre un être humain à part entière et non qu’une chose qui subissait les volontés de tous les hommes et ce, meme de la religion qui percevait chez la femme que le droit d’enfanter. En plus qu’elle était rejetée dès qu’elles n’offraient pas de garçons. Sachant aujourd’hui que seul le mâle détermine le sexe de l’enfant.
Je comprends parfaitement, que la femme se sentait amoindrit que d’etre une machine à faire des enfants et qu’elle désirait voir le monde qu’autrement que par etre cette créature sans ame. Meme mourir alors que donner naissance en faisait mourir plus qu’une.
Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, ce monde occidental, c’est du passé ce genre de bataille à gros canon. Oui, car ces féministes, empechent les femmes d’etre la femme qu’elle désire en disant que celles qui veulent rester à la maison pour etre là pour les enfants, pour entretenir une maison et avoir plus de temps le w-e en famille, sont celles qui font reculer les droits de la femmes.
DÉSOLÉE mais je ne compatis pas à une telle mentalité qui réforme le droit de la femme de faire de sa vie se qu’elle désire vraiment pour ne pas faire chialer ces femmes frustrées. OUi elles sont frustrées. Sinon, elles accepteraient et respeceteraient le désir de ces femmes de vouloir rester à la maison de leur plein gré.
Ce n’est pas reculer, mais bel et bien avancer. Dans le sens de respecter les choix qui diffèrent de ce que ces femmes perçoivent. Ce sont à elles d’évoluer maintenant.
Chaque femme à le droit de diriger sa vie comme elle le souhaite. Qu’en déplaise à ces dames qui aujourd,hui, qui sont le résultat de la bataille à laquelle elles n’ont pas participés et revendiquent un droit qui ne leur appartient meme pas. Parce que la bataille de celles qui ne pouvaient voter, de celles qui dans les années 50 et avant, une fois mariées, ne pouvaient travailler ne les concernent plus. Celles des années 50, sont agées maintenant, à la retraite. Elles l’ont fait leur bataille et elles ont gagnées.
Laissez à celles de la femme moderne, ses batailles. Ses revendications. Celles de vouloir rester à la maisons dans le respect total de sa décision. Et non etre perçue comme une personne qui vit aux crochets de son partenaire.
La femme qui désire rester chez elle, est aussi féministe que les autres. Car aujourd’hui ce n’est plus une imposition mais une volonté propre. ET la liberté de la femme c’est ça, AVOIR LE DROIT DE CHOISIR. C’est rendu qu’il faut se battre pour etre respectée dans ce choix. Completement absurde!
Comme si maintenant la femme n’était qu’une machine à performer pour prouver qu’elle est comme un homme. Mais elle n’est pas un homme et ne le sera jamais. Sinon, elle ne serait simplement pas une femme.
Ainsi, la femme qui méprise celle qui reste a la maison, est aussi pire que les hommes machos qui ne voient la femme que derrière sa cuisinière. Car celles-ci ne voient la femme que comme un objet qu’elle veut diriger à sa manière et non la laisser vivre sa vie comme elle l’entend.
Oui j’en ai marre de ces femmes qui abaisent celles qui pensent autrement qu’Elles.
Marres de croire que je suis rien juste parce que j’ai resté à la maison pour donner à mes enfants une présence au retour de l’école. Au lieu du silence, d’une clé autour du cou et de la solitude. Oui je suis fière d’avoir été une maman à la maison et non celle qui est essouflée et qui ne sait plus par quel bout parvenir à terminer une journée. (meme si ma maladie me rend ainsi)
Moi je sais, que personnellement une telle cadence m’aurait tué. Etre à la course du soir au matin, pour moi, c’est trop. Avec de jeunes enfants en plus, NON! Au secours,
Seulement je ne méprise pas ces femmes qui le font, je les respecte. Parce que ce sont leur choix. enfin en grande majorité. Parce que je sais foncièrement, qu’un certain pourcentage travail parce qu’elles n’ont pas le choix. Le besoin pécunier les font travailler à contre coeur. Donc, pas un choix véritable.
Alors, je me demande qui aujourd’hui est plus emprissonner dans ce besoin de consommation qu’a rendu cette performance absolu et ces biens que tous croient avoir besoins?
Pensez y. Qui est plus libre entre les femmes a la maison et celles qui travaillent?Alors mesdames les féministes absolues, La liberté n’est elle pas dans le choix d’etre ce que l’on désire et non pas devenir une personne qui n’a plus le choix de ses choix juste parce qu’une bataille jadis à donner les droits que nous avons aujourd’hui ?
Parce que ces acquis ne sont plus des revendications, mais juste des faits réels. Ainsi, notre époque, pour la liberté de la femme, ce sont d’autres batailles. Celles d’etre la femme que nous désirons. POINT à la ligne. Laissez notre dignité en paix. Nous assumons pleinement ce que nous sommes en toute liberté de pensée et de choix.
Pour conclure, laissez aussi aux hommes le droit d’etre un homme au foyer qui désire prendre ce role en toute liberté de pensée et de choix. Sans aucun mépris. Avec tout le respect qui lui ait dû. Après tout, la liberté c’est le droit fondamental d’agir comme on le désire, et non comme une majorité obtue voudrait nous voir agir.
Krikri ma Puce.