Le viol moins grave que l’avortement

Posté par Krikri Ma Puce le 2 août 2012

Complètement aberrant.

Le viol moins grave que l’avortement ? On se demande si on à bien lu. Bien compris.

Franchement là! Ça me dépasse. Ça me retourne l’âme. C’est complètement absurde.

Je suis sous le choc d’une telle information.

Je suis scandalisée, Outrée. 

Que l’église agisse de la sorte, il y a de quoi que des personnes se détournent de la religion. Un grain de sable plus important que les sévices faites. Plus important, que la vie qu’il aurait eut et que la mère aurait eut. 

Je me retiens d’en dire davantage. Mais je vous laisse ce lien qui explique ‘tout’ sur les raisons inhumaines d’une enfant de 9ans violée par son beau-père et tombe enceinte reniée par l’église. Si si… 

Moi, je tuerais l’homme… Et encore là, je retiens mes mots. Parce que pour moi ce n’est pas un homme. Mais un animal dégoulinant d’immondices nauséabondes.

Le VIOL moins grave que l’avortement ?

 Honnêtement, je ne pouvais ne pas en parler. C’était dire que j’étais d’accord. Que la vie d’un grain de sable a plus d’importance que la vie cruelle qu’à eut cette enfant. 

J’en tremble d’émotions tant que cette histoire me retourne. Et ensuite on voudrait nous dire que l’église est clémente ! Dieu oui, pas l’église rigide et sans âme. 

 

Krikri Ma Puce.

 

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Je t’en pris Poussin

Posté par Krikri Ma Puce le 2 août 2012

Je ne peux plus me taire
Il n’y à rien à faire
Je veux te parler
Je veux encore t’aimer

 

Fais moi signe, je t’en pris
Ne me laisses pas ainsi
À attendre
Sans comprendre

 

Expliques moi Poussin
Tu sais, ce n’est pas rien
Et c’est de cette façon
Qu’on perd la raison
Que la colère
Devient un état de guerre
Pour se protéger
Pour ne pas sombrer

 

Tu ne le croiras peut etre pas
Mais, je tiens à toi
Je veux plus que des souvenirs
Je désire avec toi un avenir

 

Je sais Nounours
Que j’ai sauté les plombs
Mais mon amour
Est aussi profond
Il n’est pas mort
Il est sinon, plus fort
Je te jure Poussin
Je n’y peux vraiment rien

 

Tu sais Trésor
Dans mon cœur, dans mon corps
Le manque de toi
Est ma détresse
Et la peur, maîtresse
de mes émois
C’est de t’avoir perdu
Sans une chance d’être entendue

 

Je t’en pris
Réponds moi mon chéri
Fais moi signe, ne serait-ce qu’une seule fois
Même si c’est pour me dire, que c’est fini

 

Que tu ne veux plus de moi
Que ton bonheur
Est ailleurs
Dans d’autres bras

 

Mais dis le moi
Franchement
Honnêtement
Exprimes toi

 

Souffrir sans savoir
Ou souffrir de désespoir
C’est souffrir quand même
Malgré que je t’aime
 
 
Alors Oui, dis moi tout
Vas jusqu’au bout
Si tu dois me dire
Ce qui me fera mourir.

 

Au moins je saurai
Que nous aimer
Est du passé
Et bel et bien terminé.

 

Krikri ma Puce.  (écrit hier)

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Où sont passées les ondes ?

Posté par Krikri Ma Puce le 1 août 2012

   Ha non! Les ondes passent plus.

   On ne se rend pas compte à quel point un objet ou un outil nous est utile jusqu’au jour où il cesse totalement de fonctionner.

   Je vous le dis, le cerveau est tellement conditionné aux habitudes qu’il a acquit par cet objet, que prendre une nouvelle manière d’agir, devient une véritable guerre cervicale pour prendre ses nouvelles habitudes. Cela demande une telle concentration, que la tête risque d’éclater tellement elle souffre de migraines. Qu’apprendre à vivre autrement, n’est vraiment pas une sinécure.

   Que j’ai envie de vous citer mon exemple personnelle où toute la petite famille a dû se faire à l’idée de cette perte pour mieux vous faire saisir la situation. Sans plaisir, je vous le jure.

   Heureusement, que cet outil n’était pas des plus primordiaux tel une laveuse (lave-linge) ou une cuisinière, car là, cela aurait été catastrophique.

   Que dis-je? Une tragédie!

  Enfin, trêve d’exagération. Tout à commencer sans avertissement aucun voici trois semaines, un mois tout au plus.

   Un matin je me sers de cet outil pour réchauffer un café froid et à ce moment tout va pour le mieux. Par contre, en après midi, pour l’heure du dîner (repas du midi chez nous), je veux réchauffer un repas et voilà qu’il nous montre qu’on devra faire notre deuil de sa présence de longue date. Ça complique tout. Parce qu’inévitablement ce sera dorénavant bien plus long pour réchauffer quoique ce soit. Obligée je serai, de jeter mes cafés froids. J’ai horreur des cafés froids. Ne serait-ce même que tièdes.

   Vous l’aurez devinez, notre micro onde, venait de rendre l’âme après plus de 18 ans de vie.

   Vous aimeriez me dire,  »Que c’était à y penser depuis belles lurettes! » C’est vrai. Cependant, quand le foin ne pousse pas à volonté dans les poches, bien penser à acheter un nouvel outil, ‘inutile’ bien on ne fait rien pour en avoir un autre. On se dit, que va se faire à l’idée.

   Évidemment!

   Sauf que, cela demande plus qu’un jour ou deux.

   Si vous possédez un tel objet, même si vous ne faites pas les repas avec, si ce n’est que pour les réchauffer, vous allez comprendre malgré tout combien il devient une aide au travers la vie. En quelques secondes on réchauffe un café froid au lieu de le jeter. Ce qui évite du gaspillage. On réchauffe en quelques minutes un restant de repas au lieu d’attendre entre 15 et 30 minutes que cela soit chaud au four conventionnel.

   Toutefois, il y a une chose pour laquelle un micro-ondes est essentiel. Enfin en ce qui me concerne. Le pop corn. Car sur la cuisinière dans une casserole très peu pour moi, et une machine à pop corn pourquoi en avoir une quand le micro-ondes le fait en quelques minutes, variant de l’un à l’autre?

   Le plus comique, c’est d’avoir acheter une boîte d’enveloppes à pop corn allant au micro-onde pour me souvenir seulement au moment d’en faire, si si, qu’on avait PLUS de micro-onde. Quelle tristesse pour ma puce de 9ans qui elle aussi avait ‘oublié’ ce détail et qui désirait ce pop corn en écoutant un film.

   Oui, un tel outil devient très vite un allié de cuisine. Nous faisant gagner un temps précieux pour réchauffer des aliments ou un breuvage.

   Par contre, j’ai eut toute une surprise, quand ma mère m’a dit qu’elle m’en donnerait un. Encore une fois. (car celui qui avait rendu l’âme venait d’elle et mon père, quand ils avaient voulu changé pour un plus moderne voici plus de 18ans.) En allant les voir, je suis revenue avec cet outil à la maison. Qui déjà à fait ‘brûler’ du pop corn, car il prend moins de temps que l’ancien… Et, j’ai déjà réchauffé un café….

   Je leur dis merci. Car oui, il nous aide énormément. Pour ne pas dire ‘il nous sauve la vie’. Trop intense pour un simple micro-onde. Mais J’en suis très heureuse. Et eux, vont évidemment s’en racheter un nouveau

   Voilà l’aventure d’un outil précieux qui rend l’âme après plus de 18ans d’existence.

   J’espère que ce ‘petit’ récit vous aura plus. Et laissez un commentaire si c’est le cas. Ça me ferait grandement plaisir de vous lire.

 

Krikri Ma Puce.

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Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

Posté par Krikri Ma Puce le 1 août 2012

Ce titre ne m’appartient pas. Il vient d’un article documenté avec vidéos à l’appuie, d’un sujet qui touche l’ensemble des femmes et qu’importe sa nationalité. 

Je l’ai découvert sur Google+. J’aime aussi cet endroit car plus sérieux et plus respectueux, on y trouve des sujets que FB ne montrent pas par la masse populative plus jeunes. Aucun sens péjoratif dans ces propos. Juste un constat.  Pour ajouter, que chacun trouve sa place dans le réseau social qui lui convient.

Je mets le lien ici question de le partager avec vous…

Ces hommes qui n’aimaient pas les femmes.

 

Krikri Ma Puce 

 

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L’éphémère désir

Posté par Krikri Ma Puce le 1 août 2012

L’éphémère désir

 

Mes doigts pleurent
Mes yeux meurent
Mon âme dégueule
mon cœur veule

 

Je ne sais exprimer
Ma dérive en rimes
Je ne sais comment dire
Tout ce qui me fait souffrir

 

Les mots s’étalent
Sans véritable mal
Pourtant leurs secrets
Demeurent abstraits

 

Ils ne disent pas tout
Ils retiennent les maux fous
Qui se dissimulent en eux
Évitant l’extrême de leur mieux

 

Ils ont de la pudeur
Alors que moi je meure
Ils se retiennent d’office
Pour éviter les feux d’artifices

 

Pourtant si cette colère
Sortait de mon antre d’enfer
Je serais d’une fièvre ostentatoire
Libérée de ce grand désespoir

 

J’aimerais alors, encore une fois
Entendre sa belle voix
J’aimerais à nouveaux ressentir ses mains
Autour de mes reins

 

Vivant à nouveau cette lumière
En sentant sa chair
Prendre totalement possession
De ce qui lui est offert avec passion

 

Mais voilà,
Ce ne sera jamais plus cela
Parce qu’il a choisi
Que je ne ferais plus partie de sa vie

 

Même si en vérité
c’est moi qui l’ait quitté
Même si maintenant
Je sais qu’il me manque tant

 

L’éphémère désir
d’une femme en délire
Ne cessera d’écrire
Ce qui la fait autant souffrir

 

Krikri Ma Puce…. C. Labrèche.

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