Écluse fin

Ce n’est pas encore la fin de cette journée 18 septembre, mais presque. Il restera l’église et le retour à la voiture, dans un seul album et récit.

À l’écluse (2ième album),  ««« on peut descendre un petit escalier qui nous mène plus près du rivage. C’est assez étonnant. Car on peut voir plus près et surtout que j’ai eut la suprise de voir Sa Majesté au bout du quai. Et aussi le bateau ‘gothique’.

J’en ai profité pour prendre des photos dans des angles moins prisées. Comme sous le pont de l’écluse. Très particulier. Si on ne voit pas de cet endroit avant, tel au moment où les bateaux passaient, c’est que les filles on découvert cette descente après leurs passages. Parce que je puis vous assurer que vous auriez vu quelques passages. Cela aurait été trop impressionnant pour passer à coté.

Sincèrement, j’ai bien aimé cette journée même si j’ai été déçue au départ par les voiliers qui étaient voiles fermées. Parce que TOUT le reste, meme ces voiliers, ce fut magnifique. (après coup bien sur)

Mais avant de dire que cette journée est maintenant bel et bien terminéé, il ne restera que l’église… Que vous verrez très bientot. Parce que moi aussi j’ai hate de cloturer cette journée pour passer à d’autres instants spectaculaires.

J’espère que cela vous plaira

Chrisitane/Krikri ma puce

L’Écluse 1

Du canal de Lachine à Montréal… «««««

Oui je sais ça porte à confusion. Disons que l’île de Montréal est très complexe. Lors de la création des arrondissements, certaines municipalités n’ont pas adhérées à ce schéma. Sans vouloir faire une étude sur cette complexité, c’est que changer l’histoire serait de mauvais gout et on y perdrait notre identité.

Ce Canal fait parti de l’histoire. Une belle histoire. Non, je ne vous la raconterai pas ici, car nous y voyons que l’écluse qui se trouve au bout des quais du Vieux Port de Montréal. Tout au bout. Et ce que j’ai appris remonte à trop loin pour oser raconter. Il me faudrait revenir en arrière et trouver de vieilles photos pour parvenir à vous la montrer.

Et ce jour là, était qu’un moment de plus parmi cette belle journée passé au Vieux Port.

Donc… voilà et viendra un second album qui montrera le sous écluses… La curiosité des filles à faite que j’ai pu voir plus bas ce qui en était du chemin que prenait les bateaux.

Au plaisir

Krikri ma Puce.

En suspend

J’ai failli écrire LE VIDE comme titre. Mais ce n’est pas exactement ça!

Depuis que je suis guéris de cette histoire d’amour, intérieurement je me sens neutre. C’est comme si plus rien ne m’arriverait. Simplement parce que je n’ai plus envie de vivre des mensonges qui se découvrent au fil du temps et qui détruit ta confiance en soi, ton enthousiasme et qu’il te faut tout reconstruire.

Là, je suis épuisée. Je n’ai plus envie de faire l’effort de faire confiance pour découvrir que je vais être encore trompée. Depuis ma première histoire d’amour à 16ans que je vis cela. Découvrir la tromperie, le mensonge. Que depuis cette dernière histoire, je me dis que je dois forcément attirer ce genre de mâle pour finir par être détruite.

D’autant plus que je ne veux pas finir ma vie avec quelqu’un qui ne m’aimera pas. Qui ne me respectera pas telle que je suis.

Pourquoi alors poursuivre cette route qui je sais me conduira au néant ? Certes, si j’avais la certitude qu’au moins je vivrais en me respectant moi meme, je crois que je me donnerais une chance.

Là, je survis. Je stagne parce qu’il me faut attendre pour parvenir à vivre en harmonie avec moi même. Je n’ai pas envie de faire souffrir mes filles. Je n’ai pas plus envie de mettre du monde dans la merde. Ce n’est pas mon genre. Parce que croyez moi, si j’étais ainsi, cela ferait bien longtemps que ce serait fait.

Mais c’est dur de vivre ainsi. On perd en estime de soi. En confiance en soi. En respect de soi. Parce que je me laisse subir pour ne pas faire souffrir.

Là, je suis dans ce vide à ne plus être capable de croire que je peux valoir quelque chose. Tout m’échappe, même ma santé. Je me trouve stupide en tout. Fragile à l’os.

Désolée de cet écrit sans prose, sans poésie. C’est comme un cri du coeur sans l’être. Un cri de l’âme peut-être. Parce que je ne suis pas à l’agonie. Juste, à la limite de me laisser choir sans plus réagir et laisser passer le temps dans un coma d’indiffférence.

Bonne journée à vous tous

Bises Amicales

Christiane