Le Réveil

Le Réveil.

Celui que j’attendais sans vraiment plus y croire. Ce réveil qui un beau matin, on réalise que l’on a passé à autre chose. Que le passé, est vraiment du passé. Qu’il ne fait plus mal ou si peu. Qu’il a terminé de jalonner notre vie avec son journal de douleurs ancré dans notre coeur.

Aussi surprenant que cela puisse paraitre. Il a fallu que je le ‘revois’ pour enfin sentir ma paix revenir peu à peu. Sentir cette nouvelle liberté d’émotions m’envahir et de laisser véritablement derrière celles qui m’accaparaient depuis août. Depuis cet anniversaire ‘abandon’ jusqu’à mon anniversaire en septembre.

J’ai dû me botter le derrière, pour ne pas être vulgaire, pour que le taureau soit vraiment pris par les cornes et que je le balance dans l’arène avec toute mon indifférence qui me prenait peu à peu le coeur.

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LA tendresse

J’étais chez un blogueur ami, Didier pour le nommer, quand l’un de ses billets, m’a interpelé… l’amour…. mais c’est son mot par la suite qui m’a inspiré… je le cite…

 »pour moi, le plus beau mot, c’est “tendresse”  »

Alors je n’ai pu résister de répondre avec ce qui suit,

« Quand il n’y a pas de tendresse, il ne reste plus rien. Parce que sans elle, après la passion, les nuits folles, plus rien ne soude personne. C’est un vide immense. À se demander, si l’avoir connu était une bonne chose. Parce qu’une fois qu’on a ‘gouté’ c’est difficile de s’en passer. Il y a toujours un trou dedans l’âme.

Elle me manque profondément. »

Pourtant je n’avais pas terminé…. Que déjà je pensais à écrire moi-même un billet sur le sujet….

C’est un sentiment doux la tendresse. Un sentiment d’être bien près de l’autre. De ne pas être qu’une parrure, qu’une personnes qui est là sans plus. Attention, je ne parle pas de la tendresse qui mène directement aux caresses et indénia-blement au lit. La tendresse sexuelle pour moi, même si j’aime bien quand on fait l’amour, n’est pas la primordiale. Car si on a pas de vraie tendresse dans les moments ordinaires de la vie, la tendresse sexuelle on vient à la craindre. Reconnaissant les signes que l’autre, désire son petit bonbon. 

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