Quel matin êtes vous?
Posté par Krikri Ma Puce le 3 novembre 2010
Voilà qu’à mon réveil, assise là avec un café, une petite question toute banale trotte dans ma tete tel un cheval déambulant dans les méandres de mon cerveau aux synapses embrouillées mais qui peu à peu reprennent vie. La voici donc cette questions et les possibilités qui sont venues par elles memes au fil de mon écriture.
À vous de voir si quel matin vous êtes régulièrement et si vous avez envie de le partager avec nous.
Quel matin êtes vous?
Il y a les matins calins, où au réveil, on se colle près de notre amour pour avoir un peut de chaleur et de tendresse.
Il y a les matins où, « fiches moi là paix j’ai pas encore pris mon café » et là vous vous dépéchez d’aller vous en faire un au plus vite.
Il y a les matins, Pipi, ceux auquels vous ne pouvez perdre une seconde de plus de peur de vous échapper en route.
Il y a les matins paresses, ces matins, où, en remettant votre oreiller sur votre tete, vous tenter de refermer les yeux tout en sachant que vous n’avez pas le choix. Il faut se lever, la journée qui débute nous rappelle à l’ordre, meme si il fait noir comme en pleine nuit.
Il y a les matins rigolos, ceux qui vous font être un petit diable en venant chatouiller ou donner des coups d’oreiller, ou pire, retirer la couverture de l’autre pour qu’il se réveille à tout prix.
Il y a les matins solitude, ceux où vous êtes debout avant tout le monde pour prendre le temps de bien vous réveiller, de bien prendre le temps d’etre à votre top dès que toute la famille sera debout.
Il y a les matins bien sur, où pour une quelconque raison, vous n’avez aucune envie de parler à qui que ce soit. Vous faites ce que vous avez à faire, mais vous n’êtes pas là pour parler.
Il y a les matins rage, où le réveil matin n’a pas sonné, où il faut tout faire à la course pour gagner le plus de temps possible et que là vous bousculez tout votre monde pour ne pas être en retard, meme si c’est innévitable.
Il y a les matins… je m’écrase tout simplement, la tete sur mes bras repliés au coin de la table où votre corps est vraiment en peine pour réagir. Ou plutot le cerveau peine à réactiver comme chaque matin.
Il y a les matins où tout va de travers. On se met à la recherche d’un vetement que l’on sait habituellement etre là où on le retrouve toujours, mais là, volatilisé. Et aussi, où le petit dernier pleure parce qu’il n’a pas son ourson préféré. San omettre la toilette qui ne cesse d’etre prise alors que vous avez UNE urgence. Oui, ce sont à ces matins là, que vous découvrez que la température est merdique. Où votre parapluie ne vous aidera nullement parce qu’il vente trop sous cette pluie monstrueuse ou pire, le verglas sur toute la surface du sol et de votre voiture. Vous voilà devant une patinoire géante. Après tout, enfiler ses patins serait peut etre la meilleure solution pour se rendre au travail.
Il y a les matins…. se la couler douce. Véritablement. Où rien n’est prévu. Où tout n’est que repos et prendre le temps… Pourquoi tourpinouche faut il que ce matin là, Oui! Ce matin là, si précieux, si attendu, où enfin on peut sans culpabilité, sans avoir rien de prévu, oui pourquoi faut il, que ce matin là justement, faut-il que le téléphone sonne?
Oui, j’aurais pu en trouver d’autres, mais là, faut bien une fin pour ne pas sombrer dans l’ennui et l’énivitable fin avant la fin.
Tant qu’à moi, mes matins ordinaires, sont ceux où je me lève avant tout le monde et où, je prends le temps de bien me réveiller, d’avoir préparé le lunch de ma plus vieille, et où j’ai pris le temps de venir ici sur mon blog, comme ce matin justement, venir pondre un article, celui ci en peu de temps. Un quart d’heure pour dire vrai
Et Moi, ce sont mes matins. Je les préviligies
Allez vous répondre ou encore une fois passer votre chemin ?
Bises
Krikri ma Puce.
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